Info Covid-19 :
Parce que le CPE met la personne au centre de ses préoccupations,
l’accompagnement se poursuit aussi à distance !
N’hésitez pas à nous contacter !
Centre agréé d'outplacementMettant en synergie formations, compétences et emplois, il propose aux entreprises une série de services dont l'outplacement ou reclassement professionnel.
Depuis le début des années 2000, plusieurs entreprises du secteur du métal et l'ensemble des partenaires sociaux ont naturellement fait appel au CPE-HN pour remplir leurs obligations en matière d'outplacement (CCT n°82). Nous accompagnons depuis, individuellement ou en groupe, tant des ouvriers que des employés du secteur dans leurs démarches de reclassement. Notre approche se veut centrée sur le problème à résoudre (retrouver un emploi) mais aussi sur la personne à accompagner. |
L'outplacement ou reclassement professionnel, une démarche accompagnée
Quels que soient l’âge ou le niveau de responsabilités, le licenciement est toujours une expérience traumatisante mettant à nu les fragilités de l’individu. La recherche d’emploi devient le problème n°1 à affronter, mais le travailleur ne peut pourtant s’y lancer efficacement qu’après avoir réellement :
Depuis le 15 septembre 2002, la Convention Collective du Travail n° 82 du 10 juillet 2002 oblige l’employeur qui licencie un travailleur âgé de 45 ans ou plus à prendre en charge une procédure de reclassement pour le travailleur qui lui en fait la demande. Mais il est vrai que beaucoup de travailleurs ignorent encore leur nouveau droit.
La C.C.T. n° 82 définit cette procédure de reclassement comme un « ensemble de services et de conseils de guidance fournis individuellement ou en groupe par un prestataire de services, afin de permettre à un travailleur de retrouver lui-même et le plus rapidement possible un emploi auprès d’un nouvel employeur ou de développer une activité professionnelle en tant qu’indépendant ».
La procédure doit prévoir 20 heures d’accompagnement, renouvelables deux fois, et faire l’objet d’une proposition que le travailleur pourra, le cas échéant, refuser.
Ont droit à un « reclassement » les travailleurs qui ont atteint 45 ans au moment où l’employeur met fin à leur contrat, avec au moins une année ininterrompue d’ancienneté dans l’entreprise. Le travailleur licencié doit faire la demande de reclassement au plus tard deux mois après que son contrat ait pris fin. C’est à l’employeur de couvrir les frais de procédure et de faire appel au prestataire de services de son choix.
- fait le deuil de son emploi et de son statut passés,
- décidé de se tourner résolument vers l’avenir et de chercher le possible positif dans ce qui lui arrive,
- repris ou acquis confiance en lui, en ses compétences et ses capacités à mener à bien ses projets,
- répondu aux questions :
- quelles sont mes compétences professionnelles ?
- que représente le travail professionnel dans ma vie et qu’est-ce que j’en attends ?
Depuis le 15 septembre 2002, la Convention Collective du Travail n° 82 du 10 juillet 2002 oblige l’employeur qui licencie un travailleur âgé de 45 ans ou plus à prendre en charge une procédure de reclassement pour le travailleur qui lui en fait la demande. Mais il est vrai que beaucoup de travailleurs ignorent encore leur nouveau droit.
La C.C.T. n° 82 définit cette procédure de reclassement comme un « ensemble de services et de conseils de guidance fournis individuellement ou en groupe par un prestataire de services, afin de permettre à un travailleur de retrouver lui-même et le plus rapidement possible un emploi auprès d’un nouvel employeur ou de développer une activité professionnelle en tant qu’indépendant ».
La procédure doit prévoir 20 heures d’accompagnement, renouvelables deux fois, et faire l’objet d’une proposition que le travailleur pourra, le cas échéant, refuser.
Ont droit à un « reclassement » les travailleurs qui ont atteint 45 ans au moment où l’employeur met fin à leur contrat, avec au moins une année ininterrompue d’ancienneté dans l’entreprise. Le travailleur licencié doit faire la demande de reclassement au plus tard deux mois après que son contrat ait pris fin. C’est à l’employeur de couvrir les frais de procédure et de faire appel au prestataire de services de son choix.